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Chroniques du misanthrope
20 septembre 2009

Huitème carnet (2008) Suite 15


  • Jeu de Paume, exposition Richard Avedon. D’immenses portraits surtout. Des célébrités. Portrait notoire de Marilyn en mai 1957 à l’air infiniment triste et pourtant visage et robe sont apprêtés ; celui de John Ford en 1972, vieux pirate éborgné et creusé. Mais surtout les petites gens auxquelles Richard Avedon donne dignité et noblesse : William Casby, né esclave ; Roberto Lopez, ouvrier sur un gisement pétrolifère ; Clarence Lippard, sans domicile fixe. Ce dernier avec une gueule fabuleuse, digne de figurer dans un film, tant sa personne capte l’attention, tant Avedon a su en sortir et en souligner la beauté.

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